Introduction
Nous recevons souvent des demandes de demandeurs de visa qui ont fait face à la déception d'un refus de visa canadien. L'une des raisons les plus fréquemment citées par les agents des visas est la suivante : « Je ne suis pas convaincu que vous quitterez le Canada à la fin de votre séjour, tel que stipulé au paragraphe 216(1) du RIPR, compte tenu de vos liens familiaux au Canada et dans votre Pays de résidence."
Alors, qu'est-ce que cela signifie et, plus important encore, comment pouvez-vous résoudre ce problème dans vos futures applications ? Dans cet article de blog, nous allons faire la lumière sur ces aspects.
Comprendre le paragraphe 216(1) du RIPR
Le paragraphe 216(1) du Règlement sur l'immigration et la protection des réfugiés (RIPR) concerne l'obligation pour les résidents temporaires (visiteurs, étudiants et travailleurs) de quitter le Canada avant la fin de la période autorisée pour leur séjour. Lorsque l'agent des visas mentionne cette section, cela signifie qu'il n'est pas convaincu que le demandeur quittera le Canada à l'expiration de son visa.
Le rôle des liens familiaux
Les liens familiaux au Canada et dans votre pays de résidence jouent un rôle essentiel dans votre demande de visa. Bien que des liens solides au Canada puissent augmenter votre tendance à rester plus longtemps, des liens solides dans votre pays de résidence peuvent constituer une raison impérieuse pour vous de rentrer chez vous une fois votre visa expiré.
Renforcement de votre demande de visa
Pour augmenter vos chances d'obtenir un visa, il est important de démontrer efficacement votre intention de retourner dans votre pays d'origine une fois votre visa expiré. Ceci peut être réalisé par :
- Preuve de liens solides avec votre pays d'origine : Cela peut inclure la propriété, la famille, l'emploi ou les entreprises.
- Preuve de votre historique de voyage : Si vous avez déjà voyagé à l'étranger et êtes revenu pendant la validité de votre visa, cela montre votre conformité aux règles d'immigration.
- Preuve de stabilité financière : Cela aide à convaincre l'agent que vous visitez le Canada pour les raisons indiquées dans votre demande et non pour des raisons économiques.
Faire face au refus de visa
Se voir refuser un visa peut être décourageant. Mais n’oubliez pas que ce n’est pas la fin du chemin. Vous pouvez soumettre votre refus de visa à la Cour fédérale pour un contrôle judiciaire afin de supprimer le refus de votre historique de demande. Après quoi, nous demandons un autre visa pour examiner votre dossier et nous espérons que cette fois-ci vous recevrez votre visa. Tenez compte des motifs de rejet et travaillez au renforcement de votre candidature.
Foire aux Questions
Pourquoi ma demande de visa canadien a-t-elle été rejetée en vertu du paragraphe 216(1) du RIPR ?
Quel rôle jouent les liens familiaux dans la demande de visa ?
Comment puis-je renforcer ma demande de visa ?
Puis-je refaire une demande de visa après un refus ?
Quelle est la signification de "liens avec votre pays d'origine" ?
Un agent des visas peut-il rejeter ma demande sur la base d'une présomption ?
Puis-je faire appel d'un refus de visa ?
Quelles preuves puis-je fournir pour montrer des liens solides avec mon pays d'origine ?
Un refus de visa antérieur affecte-t-il mes futures demandes ?
Un avocat spécialiste de l'immigration peut-il aider à améliorer les chances d'approbation du visa ?
Conclusion
Bien qu'un refus de visa canadien puisse être un revers, ce n'est pas la fin de votre voyage. Avec une compréhension approfondie du paragraphe 216(1) du RIPR, une démonstration claire de votre intention de retourner dans votre pays d'origine et éventuellement des conseils professionnels, vos chances de succès de futures demandes peuvent être considérablement améliorées.
Si vous souhaitez consulter pour obtenir des conseils juridiques, planifier une consultation avec nous aujourd'hui ! En savoir plus tout au long de notre blogue!
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